«Le résultat reflète plutôt bien la réalité mais bien sûr, avec plus de meurtres et de perruques», a expliqué Andrei Bezrukov, qui a vécu sous couverture aux États-Unis sous l'identité du Canadien «Donald Heathfield», à un journal russe. «Ma femme Elena et moi ne nous attendions pas à ce que les créateurs américains de la série veuillent et soient capables de retranscrire le caractère des agents avec autant de profondeur et d'impartialité, voire de sympathie.»
(On peut entendre l'accent discret et subtil, mais certainement pas canadien, d'Andrei Bezrukov dans cette vidéo; il est à droite.)