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    14 histoires de femmes qui ont eu affaire avec des micropénis

    En gros (lol) : c'est pas important, tant que le gars est sympa.

    Un micropénis désigne un pénis qui est à plus de 2,5 écart-types de la taille moyenne des pénis. D'après le Dr Joseph Alukal, professeur assistant d'urologie au centre médical Langone de l'université de New York, ça correspond à une longueur de 3 centimètres quand il est «étiré» au repos.

    «Un micropénis peut être lié à d'autres anomalies urologiques ou hormonales, dont certaines peuvent être présentes dès la naissance», explique le Dr Alukal. «D'autres patients sont simplement nés ainsi (sans aucune autre raison particulière). Les hommes avec un micropénis ont en général une vie normale pour ce qui est d'uriner ou d'avoir une érection.»

    Les 14 femmes qui témoignent ici ne sont pas des professionnelles de santé qui seraient capables de poser un diagnostic concernant des anomalies au niveau du pénis. Il faut donc prendre leurs témoignages comme des expériences personnelles, pas comme une description médicale du micropénis. Cette anomalie est plutôt rare (elle touche environ 1 homme sur 200, dit le Dr Alukal).

    Voici un micropénis. AVERTISSEMENT: CECI EST UNE PHOTO D'UN PÉNIS PRISE DE PRÈS, NSFW.

    1. «Nous n'avons fait l'amour avec pénétration qu'une fois»

    «J'ai fréquenté un gars avec un très petit pénis pendant environ un an. J'ai été un peu surprise la première fois que je l'ai vu mais ça ne m'a pas perturbée tant que ça. La première fois que nous avons fait l'amour a été la seule fois où il y a réellement eu une pénétration — pendant le reste de notre relation, nous n'avons eu que des relations sexuelles orales. Ça ne m'a pas dérangée du tout — il était vraiment doué pour ça ! Et en plus, la pénétration a été plutôt mal vécue des deux côtés ; on arrivait tout simplement pas à trouver le bon rythme, et donc aucun des deux n'a vraiment pris son pied.

    Je suppose qu'il s'est plutôt consacré à développer ses autres talents pour compenser sa petite taille, mais on n'en a jamais discuté. Au final, j'étais tout à fait épanouie dans cette relation !»

    — Anonyme

    2. «Mon conseil à toutes les femmes : réservez un accueil chaleureux aux micropénis.»

    «Ma rencontre a eu lieu cette année, donc bien évidemment le premier contact a été fait sur Tinder. J'ai trouvé ça un peu bizarre au début (même si je comprends mieux maintenant) qu'il souhaitait qu'on se connaisse mieux et qu'on passe un peu de temps en tête-à-tête avant de coucher ensemble. Mais il avait également clairement annoncé qu'il voulait construire une vraie relation et pas juste tirer un coup, donc je me suis dit qu'il se la jouait un peu vieux jeu. Je suis scorpion et j'ai tendance à passer directement au pieu, donc j'ai trouvé son entêtement à prendre son temps particulièrement frustrant, adorable, romantique et idiot. Mais ça a marché.

    En plus, la première fois qu'on a couché ensemble, il m'a d'abord fait un cunnilingus qui était tellement incroyable que quand il a enlevé son pantalon, je m'en fichais de son micropénis. Il y a eu un moment d'hésitation du genre «Euh, ça va marcher comment, ça ?» mais ça collait déjà entre nous, j'étais amoureuse de lui et lui était clairement amoureux de moi donc je me suis dit que ça allait marcher d'une façon ou d'une autre. L'acte sexuel lui-même a été un peu bizarre à cause de sa petite taille — on a finalement réussi en levrette. Mais, bonté divine, il s'est facilement rattrapé avec ses talents incontestables en cunnilingus, et comme j'ai moi-même un vagin plutôt court, j'étais soulagée qu'il jouisse et que je n'ai jamais eu à m'inquiéter d'avoir mal.

    En conclusion, c'était un amant généreux qui donnait beaucoup, qui était attentif à mon plaisir, qui tenait à ce que je jouisse plus souvent que lui (!), et il savait comment s'y prendre. En fin de compte, qu'est-ce qu'une femme peut demander de plus ? Mon conseil à toutes les femmes : réservez un accueil chaleureux aux micropénis. Le sexe oral n'a jamais été aussi facile et au moins ce gars savait que le plaisir d'une femme n'était pas qu'une affaire de bite.

    On s'est séparés pour plein de raisons, mais aucune en rapport avec son micropénis.»

    — Anonyme

    3. «Je préfère nettement avoir à mes côtés un homme formidable équipé d'un petit pénis plutôt qu'un naze équipé d'un gros.»

    «J'étais la dernière des fêtardes à la fac et je sortais rarement. J'ai décidé de participer à une soirée juste pour m'amuser. C'était super, et j'ai rencontré un gars très sympa. Il était drôle, intelligent, un peu grassouillet — l'homme de mes rêves en fait.

    On s'est longuement embrassé et il me disait toutes sortes de choses (sexy). On est allé chez lui et on s'est retrouvé à poil. J'ai cru d'abord qu'il n'avait pas d'érection, mais ensuite on a commencé à faire l'amour et j'ai compris. Pour moi, une relation sexuelle satisfaisante avec quelqu'un pour qui je ressens quelque chose, c'est bien mieux qu'une partie de sexe à grimper aux rideaux avec un connard. Et je préfère nettement avoir à mes côtés un homme formidable équipé d'un petit pénis plutôt qu'un naze équipé d'un gros.

    Côté sexe, c'était OK (je veux dire, on aurait dit que quelqu'un frappait à la porte mais sans pouvoir la pousser, vous voyez ?), mais il y a tant de choses qu'on peut faire avec le corps de l'autre pour que ce soit bon. Le problème, c'était qu'il avait manifestement peu confiance en lui et qu'il n'arrivait pas à jouir. Il ne voulait même pas que je le touche pour l'aider. Je ne pouvais qu'imaginer ce qu'il avait dû subir auparavant pour qu'il soit aussi mal à l'aise. C'était vraiment dommage.»

    —Anonyme

    4. «Elle n'était probablement pas plus longue que les 4/5e de ma paume»

    «J'étais à une soirée rock qui se tenait tous les mois dans un bar local quand je l'ai aperçu : le beau garçon, grand et ténébreux, pour qui j'en pinçais quand j'étais au lycée. On s'est mis à parler et à rattraper le temps perdu, à danser puis à s'embrasser. Il m'a dit qu'il était le vidéaste d'un groupe local de magiciens et que le studio de magie était littéralement à deux pas de là. Un peu éméchés et se sentant mutuellement un peu excités par l'autre, j'ai répondu quelque chose du genre : "Oui, pourquoi pas ? Allons-y."

    On y est allés et, pour une drôle de raison, il a trouvé que ce serait excitant de me faire asseoir sur ses genoux et de regarder des vidéos de tours de magie. Sa technique de séduction était si mauvaise que je me suis dit "oh, peu importe, ça fera une bonne histoire à raconter", et nous nous sommes donc dirigés vers le canapé, dans le noir.

    J'ai défait son pantalon, mis ma main sur sa bite, et réalisé qu'elle n'était probablement pas plus longue que les quatre-cinquièmes de la paume de ma main, et j'ai des mains plutôt petites. Il a remarqué que j'étais confuse et m'a dit : "Ne t'inquiète pas, il va grossir" (ça n'est pas arrivé). En cachant mon envie de rire (pas à cause de la taille de son pénis, mais parce qu'il s'était senti obligé de me prévenir), on a continué à se rouler des pelles.

    Ce que je ne savais pas, c'est qu'il se masturbait en même temps dans le noir et qu'il a éjaculé sur ma belle robe. J'étais furieuse. Après, je l'ai obligé à nous acheter des pizzas, pour moi et mes amis. Quel connard de se masturber sur ma robe.»

    —Anonyme

    5. «Côté sexe, c'était pas mal parce qu'il faisait énormément d'efforts et parce qu'il était VRAIMENT VRAIMENT CANON»

    «Je suis sortie pendant 18 mois avec un gars qui avait un micropénis. Ça se passait... bien ? J'étais jeune et je suppose que je ne savais pas que j'étais face à un vrai micropénis. Côté sexe, c'était pas mal parce qu'il faisait énormément d'efforts et parce qu'il était VRAIMENT VRAIMENT CANON, et que ça minimisait donc le problème du micropénis.

    Il faut aussi que je vous dise qu'un autre gars de ma ville natale était connu pour avoir un micropénis — mais que ça n'avait jamais été un problème pour lui parce que même s'il avait un micropénis, il avait également la réputation d'avoir un certain talent pour les cunnilingus. Donc voilà.»

    — Anonyme

    (AVERTISSEMENT : C'EST AUSSI UNE PHOTO D'UN PÉNIS, MAIS CETTE FOIS-CI C'EST VRAIMENT DRÔLE.

    6. «Il ne fait rien, et même ne tente rien, pour me stimuler.»

    «J'ai eu deux expériences distinctes avec des pénis franchement petits. La première fois, c'était avec un gars que j'aimais beaucoup et avec qui je suis souvent sortie. Il assumait entièrement son handicap et avait trouvé d'autres moyens pour s'éclater. Par exemple, il pouvait passer des heures à me faire un cunnilingus et me demandait toujours comment il pouvait me donner encore plus de plaisir, et il s'en sortait plutôt bien. Aaprès notre rupture — pour des raisons sans rapport avec sa petite bite — j'ai gardé une attitude positive envers les petites.

    Ce qui m'amène à quelques mois plus tard, alors que je m'apprête à coucher avec un mec que je fréquente depuis peu. La sienne s'avère être encore plus petite que chez le premier, mais je ne dis rien, parce que si quelqu'un me faisait une remarque sur mes parties génitales lors d'un premier rapport, j'en mourrais. Mais je ne sens absolument rien quand il me pénètre. Et il ne fait rien, et même ne tente rien, pour me stimuler. Et quand il a terminé, il me dit quelque chose du genre : "T'as aimé ?" Et j'ai répondu : "Ben non, en fait" et je lui ai suggéré qu'il aurait pu m'aider à jouir.

    Je laisse tomber et à l'occasion suivante, je me dis qu'évidemment il va essayer de me faire jouir par d'autres moyens, mais il ne tente rien. Je l'arrête et je lui explique comment il pourrait s'y prendre. Il tombe des nues et je lui dis : "Tu sais, j'ai rien senti la dernière fois.

    — Tu veux dire que j'ai une petite bite ?

    — Ben oui, c'est le cas.

    — C'EST PEUT-ÊTRE TOI QUI A UN VAGIN ÉNORME !» Sur ce, je suis partie.

    (Pour la taille, le premier mec avait une érection de 8 cm et le deuxième mec de 5 cm à tout casser.»

    — Anonyme

    7. «e n'ai pas senti grand chose lors du rapport sexuel.»

    «C'était en 2006, et c'était ma première relation amoureuse après avoir engagé une procédure de divorce. J'avais 26 ans. Lui avait quelques années de moins, mais pas suffisamment pour expliquer la toute petite petite taille de son pénis, parce que ça aurait signifié que j'avais des relations sexuelles avec un gamin, ce qui est totalement interdit, et il suffit de regarder New York, unité spéciale pour le savoir.

    On se fréquentait depuis quelques mois. On avait souvent partagé le même lit tout en limitant les caresses et tout le reste aux zones au-dessus de la ceinture car je voulais y aller doucement (du moins plus doucement qu'à mon habitude) à cause de ma séparation. J'ai commencé à m'attacher et finalement j'étais prête à faire le grand pas vers du vrai sexe.

    On était sur son lit et il a retiré son caleçon devant moi pour la première fois. Je me suis demandé s'il avait un problème congénital. Son pénis faisait la taille de mon pouce.

    Et il faut préciser que je suis atteinte de brachydactylie, j'ai donc des doigts extrêmement courts. En pleine érection, le pénis de ce gars avait la taille du pouce de Megan Fox.

    Faut-il le préciser ? Je n'ai pas senti grand chose lors du rapport sexuel. J'ai refait une tentative quelques jours plus tard, juste pour bien vérifier que mes yeux et mon vagin ne s'étaient pas moqués de moi. Et non. J'ai interrogé internet au sujet de pénis anormalement petits, et j'ai eu la confirmation que le sien était un micropénis.

    Son engin n'a pas été la raison principale qui a conduit à la fin de notre relation. Ni la deuxième ou troisième raison. C'est pas comme s'il y pouvait grand-chose, et comme il n'a même pas abordé la question, je me demande même s'il était au courant de sa taille toute relative. En fin de compte, notre différence d'âge et son côté envahissant sont devenus le vrai problème, et j'ai décidé de quitter New-York pour rejoindre ma famille en Floride pour quelques temps après mon divorce.»

    Marci Robin

    8. «Les petits pénis ont aussi besoin d'amour.»

    «J'ai connu le micropenne (le nom que j'ai inventé pour décrire cet organe) en question au cours d'une petite amourette. Ce gars était grand, dans les 1 m 95, et super canon. Un de ces mecs qui me paraissaient complètement hors de portée.

    On s'est embrassé avec fougue au bar le soir de notre première soirée, et j'attendais avec impatience de rentrer à la maison pour pouvoir jouer avec un pénis de bonne taille, voire de taille conséquente au vu de sa taille, de ses grandes mains et de ses grands pieds. Et voilà venu le moment où tombent les masques. Je n'ai rien laissé paraître. Je ne porte pas de jugement sur les corps que j'invite dans mon pieu. Chauve ? Aucun problème. Un dos poilu ou des fesses poilues ? Bien sûr. Des tétons bizarres ? Aucun problème. Petit pénis, pareil. On n'a pas discuté de son pénis. Il a fait des compliments sur mon corps.

    L'acte lui-même ne m'a pas apporté autant de satisfaction que d'habitude, mais l'expérience d'être avec lui, si, et j'en ai profité plusieurs fois encore. Ça fonctionnait comme tous les autres pénis, même si les préservatifs ne se déroulaient pas beaucoup. Cela dit, je ne sentais pas grand chose. Il m'a fait des cunnilingus, et je ne me rappelle pas de lui avoir donné une fellation, mais je l'aurais certainement faite s'il me l'avait demandée.

    Mon conseil pour les femmes : ne jugez pas, essayez. Les petits pénis ont aussi besoin d'amour. Cette relation n'a pas duré pour des raisons sans rapport avec le sexe, mais si ça avait été possible de continuer, je l'aurais fait.»

    — Mary

    9. «Je suis grimpée là-haut et… j'ai rien trouvé.»

    «Une fois de retour chez moi avec mon diplôme d'université en poche, un gars avec qui j'avais gardé le contact depuis le lycée m'a invité à sortir. Il avait fait un enfant à une femme qui avait accouché quelques mois plus tôt, mais lui et son ex n'étaient plus ensemble, m'a-t-il dit, et comme j'avais toujours eu un peu le béguin pour lui, j'ai accepté.

    Après quelques rendez-vous amoureux, on s'est retrouvé chez lui, où on s'est laissé aller à quelques ébats. On a retiré nos vêtements, et il m'a demandé de me mettre au-dessus... C'est pas ce que je préfère, mais bon. J'ai grimpé là-haut et là... j'ai rien trouvé. Quand je l'ai touché, j'étais horrifiée.

    "Tu bandes ?, ai-je demandé.

    — Mais oui !

    — Attends, tu as bien un préservatif ?

    — Ben non ! Ça va le faire redescendre !

    — Il est déjà redescendu ! J'ai rajouté : Ramène-moi chez moi."

    J'étais : a) sous le choc par la petitesse de cette chose (et du fait qu'elle soit aussi flasque) et b) réellement déconcertée à l'idée qu'une femme ait pu tomber enceinte de lui. Et donc on en est resté là, plus aucune partie de jambes en l'air, plus aucune tentative. Franchement, son manque d'enthousiasme pour des rapports protégés m'avait encore plus refroidie que son petit pénis.»

    — Anonyme

    10. «C'était horrible, mais surtout parce qu'il a joui en 2,5 secondes»

    «Ma rencontre avec un micropénis s'est produite il y a six ou sept ans, avec mon ancien copain de colonie de vacances que je draguais de temps à autre quand il était dans le coin. On avait presque eu un rapport sexuel une fois auparavant, et c'était la première fois que je voyais son pénis et je m'étais dit qu'il était plutôt petit. Mais je n'avais eu que très peu d'expériences jusque-là, et j'avais vraiment pas beaucoup d'éléments de comparaison.

    Deux ou trois années plus tard, j'avais accumulé un peu d'expérience de jeune dévergondée. Il était de nouveau de passage en ville, et on est allé chez moi et on s'est retrouvé au pieu. Depuis la dernière fois, j'avais cette fois-ci quelques bases de comparaison, et je me suis dit : "Effectivement, c'est pas seulement anormalement petit, mais il se pourrait bien que ça corresponde médicalement à ce qu'on appelle un micropénis" — un doute qui a été rapidement levé quand je lui ai demandé de me pénétrer et qu'il m'a répondu : "En fait, je suis déjà dedans."

    QUOI QU'IL EN SOIT, on a fait l'amour et c'était horrible, mais surtout pour d'autres raisons. La première, c'est qu'il a joui en 2,5 secondes chrono ; ensuite, il ne portait pas de préservatif, ce qui a conduit par la suite à une petite expédition embarrassante pour se procurer un plan B, etc. Toutes ces raisons étaient bien pires que la taille de sa petite bite, et de loin.

    En plus, il n'a pas fait beaucoup d'efforts pour compenser ses défaillances par d'autres talents, par un cunnilingus par exemple, ou par des caresses. Rien. Si j'étais une vieille femme ridée dans sa chaise à bascule en train de donner des conseils à quelqu'un avec un micropénis, je pense que je lui dirais que ce n'est pas grave et qu'il n'est pas condamné à une vie sexuelle affreuse et frustrante, sous réserve d'assumer ce handicap, de faire des efforts pour compenser par d'autres moyens et de donner du plaisir à son ou sa partenaire. J'ai fréquenté d'autres gars avec des petits pénis, et côté sexe, c'était vraiment formidable parce qu'ils semblaient avoir plus ou moins compris ça implicitement. L'autre gars (celui avec un micropénis) ne l'avait pas compris.»

    — Anonyme

    11. «Il n'y a pas eu de pénétration, mais il m'a donné du plaisir par d'autres moyens.»

    «J'avais pris un semestre pour voyager à l'étranger. Il était TERRIBLEMENT SEXY et parlait avec un accent étranger, ce qui lui donnait évidemment encore plus de charme. J'étais tellement saoule que j'ai pensé que marchander la course avec un chauffeur de taxi dans la langue locale pour gagner UN DOLLAR allait forcément impressionner cet étranger séduisant. Lors de nos premiers ébats, j'ai découvert son tout petit petit pénis. Il n'y a pas eu de pénétration, mais il m'a donné du plaisir par d'autres moyens. (Mes colocs de l'époque peuvent en témoigner. Et non, la décision de ne pas pratiquer la pénétration n'était pas à cause de son petit pénis. J'avais tout juste 19 ans et je ne voulais pas de pénétration lors d'un premier rendez-vous.)

    La taille de son pénis n'a pas été abordée. Et pour dire la vérité, il était tellement séduisant, intelligent et agréable, que je ne regrette absolument rien. D'après ce que je vois sur Facebook, il est maintenant marié, heureux et papa. Je suis ravie pour lui et pour son petit pénis »

    — Anonyme

    12. «Il avait une personnalité très forte, un peu orgueilleuse, donc je pensais qu'il en avait dans le caleçon.»

    «Mon expérience avec un micropénis s'est produite avec l'ami d'un ami, quelqu'un avec qui je ne suis sortie que deux fois. Sa taille, malheureusement, n'a jamais été abordée — c'était une relation occasionnelle, donc ce genre de discussion n'était pas franchement à l'ordre du jour — et j'ai été un peu désarçonnée quand il a enlevé son pantalon.Je n'en avais jamais vu d'aussi petit et j'avais peur de ne pas savoir quoi faire. C'était aussi très surprenant, car même si ça parait assez naïf de ma part, il avait une personnalité très forte, un peu orgueilleuse, donc je pensais qu'il en avait dans le caleçon. Je sais pas.

    Les détails sont assez flous, sans doute parce que j'étais pas mal saoule les deux fois où nous nous sommes s'est retrouvés, mais j'ai constaté qu'on pouvait avoir une relation sexuelle (et des orgasmes !) à condition que je sois au-dessus et que je fasse des mouvements de balancement d'avant en arrière sans trop faire de montées/descentes, au risque de le perdre en route. Je pense que la clé, quand on a un micropénis dans le vagin, c'est de ne pas trop bouger. C'est agréable en été quand il fait chaud (c'était le cas à l'époque et il n'avait pas de climatisation chez lui) et qu'on n'a pas envie de trop transpirer.»

    — Anonyme

    13. «J'ai commencé à le caresser, en pensant qu'il avait sans doute besoin d'un peu d'encouragement pour se montrer.»

    «Je fréquentais un garçon et on était sortis plusieurs fois ensemble. Un jour, on ne se retrouve chez lui. On était à poil assez rapidement et je tombe sur ce petit moignon de 3 centimètres de long (en étant optimiste) au niveau de son entrejambe. Il n'était pas non plus circoncis, donc j'étais plutôt déconcertée par ce que je voyais. J'ai commencé à le caresser, en pensant qu'il avait sans doute besoin d'un peu d'encouragement pour se montrer. En effet, j'avais du mal à croire qu'un pénis pouvait se résumer seulement à un petit gland au niveau de l'entrejambe (pour vous donner une idée, il faisait à peu près la taille de la moitié supérieure de mon pouce, et j'ai des petites mains).

    Après une trentaine de secondes de caresses d'encouragement confuses et néanmoins optimistes, il a joui, avant de dire qu'il n'avait jamais été très endurant. Il n'a jamais proposé un vrai rapport sexuel, par politesse sans doute. Voilà, c'est à peu près tout.

    Je raconte à mes amis qu'on s'est quitté pour plein d'autres raisons parce que je suis trop gênée de dire que j'ai branlé un gars avec un micropénis (il y avait effectivement d'autres raisons, mais celle-ci a certainement joué dans ma décision finale).

    Au fait, les couilles me semblaient être de taille normale.»

    — Anonyme

    14. «Il ne faisait rien pour compenser sa petite taille par d'autres moyens»

    «Ma première (et unique) rencontre avec un micropénis s'est passée en deuxième année de fac. Je me remettais d'une rupture récente et je me suis retrouvée dans la chambre de l'ami d'un ami. La température est remontée d'un cran et j'ai glissé ma main vers ses parties intimes et j'ai eu le choc de ma vie. Puisque le cerveau imbibé d'alcool est particulièrement lent à comprendre, j'ai continué à tâtonner dans le coin, pensant avoir peut-être attrapé une troisième couille. J'ai fait de mon mieux pour le branler (mais ce n'est jamais une grande réussite) et je ne suis pas allée plus loin.

    Je ne serais pas a priori OPPOSÉE à fréquenter quelqu'un avec un petit pénis, mais ce gars-là ne faisait rien pour compenser sa petite taille par d'autres moyens (il était complètement égoïste au pieu).»

    — Anonyme

    Ce post a été traduit de l'anglais.