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    25 histoires de Noël en famille bien pires que les vôtres

    Oui oui, il y a pire que vous.

    On vous a demandé de nous confier vos pires histoires de Noël en famille. On n'a pas été déçus.

    1. La gêne à l'état pur:

    «Comme chaque année, les débats politiques ont refait surface. Ma tante et mon oncle se sont vite pris le chou quand mon oncle à lancé "de toutes façons tu suces mal". C'est gênant quand on sait que mon autre oncle, son vrai mari, était juste en face.»

    Jeanne

    2. La dermato:

    «La fausse gentille belle-mère qui m'offre non pas une mais deux crèmes anti-rides, à 28 ans. Est-il utile de préciser que son fils, mon compagnon, était un peu plus jeune que moi? Le message était clair.»

    Florianne

    3. L'esprit de famille:

    «Après deux bouteilles de vin, ma tante a roulé une pelle à mon beau-père.»

    momo

    4. L'esprit de famille (bis):

    «Toute ma famille et moi étions malades. On a passé la soirée à attendre notre tour pour vomir aux toilettes. On est rentrés chez nous à 21h30, on s'est couchés, et on est restés au lit une bonne partie de la journée du 25 décembre.»

    amandine

    5. Tata, pas maintenant:

    «Je couvais une bonne dépression post-attentats du 13 novembre. Personne de ma famille ne pouvait vraiment "comprendre" ce qu’on avait vécu à Paris, surtout de manière assez proche pour moi. Le 24 au soir, ma tante s’est dit que ce serait le bon moment pour me prendre à part sur le balcon et me fait jurer, les larmes aux yeux, de "ne pas rater ma vie comme elle a raté la sienne" et de "profiter de ma jeunesse". Je suis rentrée me rassoir, mon oncle était en train de mettre une perruque dorée sur la tête du copain de ma mère, qui a refusé catégoriquement car "[il n’est] pas pédé".

    Puis sur les coups de minuit au moment du "Joyeux noël", j’ai fini par rejoindre ma tante qui était aux toilettes pour lui tenir les cheveux pendant qu’elle vomissait sa vie après avoir trop bu—probablement pour oublier qu’elle "n’a pas profité" de sa susmentionnée jeunesse. Et en plus elle portait des chaussures Desigual.»

    Amy

    6. L'amnésique:

    «Quand mon oncle a oublié que mes parents avaient "une troisième fille" alors que j'avais 16 ans.»

    rihanna

    7. Jésus 1, Père Noël 0:

    «Il y a 3 ans, ma tante et ma mère ont réussi à piéger mes petits frères pour qu'ils aillent à la messe de Noël. Ils sont tous deux musiciens, ils ont donc été invités à faire un concert pour la naissance de Jésus.

    N'étant pas catholique et mon père non plus, nous avions donc prévu de passer la soirée à boire à la santé du Père Noël, sauf que la cave à vin était vide et le bac à bières avait été rempli de légumes à l'insu de notre plein gré. Inébranlables face à l'adversité, nous décidâmes de sortir en quête d'un bar PMU ouvert à 21h le 24 décembre.

    Eh bien les enfants, nous avons marché pendant au moins 1h, sillonnant chaque rue et ruelle du sud-est parisien: tout était fermé. Même les épiceries restaient porte close au lieu de prendre notre argent. Désemparés face à la vie, nous sommes donc rentrés pour nous endormir devant un bêtisier tout pourri.»

    Vi'

    8. Retournement de situation:

    «Je viens d'une famille maternelle très à gauche (genre communiste pour mes grands-parents), et je me souviendrai toujours de la tête des gens autour de la table lorsque mon oncle nous annonce qu'il vote désormais pour le FN.»

    CrimsonGabrielle

    9. La gêne à l'état pur (bis):

    «Ma mère a fait un strip-tease au milieu du salon, déguisée en Liza Minnelli, au père de ma meilleure amie, devant sa mère et mon père. Joyeux Noël.»

    ChaKa

    10. La petite fille qui n'aimait pas Noël:

    «J'avais 4 ou 5 ans, un de mes oncles a débarqué à minuit déguisé en Père Noël, et pour une raison qui m'échappe ça m'a terrorisée. J'en ai hurlé toute la nuit, de peur qu'il revienne. Plus personne ne s'est jamais déguisé en Père Noël chez nous suite à ça. J'en suis mi-fière mi-honteuse. On me ressort cette histoire tous les ans.»

    Fanny G.

    11. La mauvaise idée:

    «Lors du diner de l'année dernière, nous avons joué en famille au jeu où il faut se coller une étiquette sur le front, et deviner soi-même qui l'on est en posant des questions aux autres joueurs. Super bonne idée en soit. Sauf que, mon adorable mais néanmoins très susceptible grand mère s'est retrouvée affublée de "Simplet". Cela va sans dire qu'elle était convaincue que c'était un complot monté contre elle et que la soirée s'est terminée par une dispute monstrueuse. Note pour cette année: jouer au Monopoly, cela semble plus safe.»

    KrrKrrKrr

    12. Au mauvais endroit, au mauvais moment:

    «La nouvelle femme de mon oncle, qui a à peu près mon âge, a commencé à faire l'enfant (genre jeu sexuel) devant toute ma famille. Elle minaudait, miaulait, prenait une petite voix. Horrible.»

    Clem

    13. Bonne année 1953:

    «La fois où ma grand-mère s'est mise à parler du prêtre "nègre" de son village.»

    Victoria

    14. Cauchemar en cuisine:

    «Un grand-oncle très éloigné a imposé qu'on fasse de la morue à l'aïoli comme repas de Noël et personne osait lui dire non. Mes parents ont fini par aller acheter du confit de canard en douce.»

    Kleyyyre

    15. À la recherche de la boulette perdue:

    «J'avais 4 ans et je me fourrais les doigts dans le pif comme n'importe quel mioche dégoûtant. J'en avais extrait une crotte de nez de taille assez conséquente que j'avais par mégarde fait tomber quelque part sur le tapis de ma tante. Paniquée à l'idée d'avoir sali la maison, je me suis mise à la chercher partout, mais elle était introuvable, et je me suis mise à pleurer sous l'émotion.

    Une tante accourt et me demande ce qu'il se passe. Je me mets à bégayer et crier que "j'ai perdu ma boulette". Pleine de bonne volonté elle se met alors à 4 pattes et à chercher avec mes cousines cette boulette dont elles ignoraient la nature. Tout le monde s'y met pour aider. Alors pleine de honte j'éclate en sanglot et leur avoue en criant "mais c'est une crotte de neeeez", devant toute la famille. Silence général dans l'assemblée.»

    LaBoulette

    16. Tchin-tchin:

    «Ma mamie a sorti une bouteille de champagne avec la tête de Nicolas Sarkozy dessus. Le silence qui a suivi est encore aujourd'hui l'un des moments les plus malaisants de ma vie.»

    Hungry Wolf

    17. C'est pas moi, c'est le chat:

    «Le chat a fait tomber le sapin de Noël sur mon père, et la faute m'est retombée dessus parce que j'avais supplié de le laisser jouer, sous prétexte que c'était "mignon". J'ai dû manger à côté de lui pendant le repas...»

    Enzo

    18. Le Père Noël un peu trop honnête:

    «25 décembre au matin, j'ouvre un cadeau qui me vient de ma tante: c'est un bouquin allemand. Elle tient à m'expliquer l'histoire derrière: "il est un peu écorné mais c'est parce qu'on me l'a offert il y a quelques mois. J'avais commencé à le lire mais j'ai pas aimé, je l'ai trouvé un peu ennuyeux. Je me suis dit qu'à toi ça pourrait te plaire". Merci de la générosité, tata. Et en plus, je confirme, il était nul.»

    Zaza

    19. Au boulot:

    «Ça faisait plusieurs années que je végétais d'un point de vue études. Et le sujet est inévitablement arrivé pendant le repas. Mon père me demande ce que j'ai prévu de faire. J'ai envoyé une réponse avec un petit sourire en coin, sûrement un truc genre: "j'ai pas prévu" avec un visage qui dit "balek". Il s'est énervé et il a dit qu'il allait chercher son fusil. Ça m'a calmé direct. Je n'avais plus faim.»

    Max

    20. Une pierre, deux coups:

    «J'ai fait mon coming-out à ma famille... Et mon oncle en a profité pour faire le sien, quitter le repas et sa femme par la même occasion.»

    Maysaf

    21. La feignasse:

    «J'ai une manie: je n'aime pas qu'on me regarde quand je fais les corvées. J'ai donc profité une fois que presque toute la famille était sortie pour une balade en forêt pour faire la vaisselle. Je débarrasse la table, je range la vaisselle déjà propre et... Impossible de trouver l'éponge et le liquide vaisselle. Je cherche partout et finis par demander à ma tante qui glandait sur le canapé.

    Elle me répond: "c'est dans l'autre bâtiment, faut aller le chercher". Il faisait froid, il neigeait, je n'avais pas envie de mettre un manteau et des moufles juste pour aller chercher une éponge. Tant pis, je cherche une autre corvée à faire: passer l'aspirateur par exemple. Ma tante me regarde m'éloigner de l'évier, se redresse sur le canapé et me lance avec un petit air pincé: "tu fais pas la vaisselle du coup? T'es une sacrée feignasse". J'étais tellement choqué, je n'ai pas su répondre.»

    Koriandre

    22. L'intruse:

    «Mon frère, ce serial loveur, avait décidé que Noël était l'occasion parfaite de nous présenter sa "copine du moment". Nous avons appris sa venue en la voyant entrer dans le salon. À peine conscients de son existence, nous n'avions pas de cadeau. Elle est restée hébétée sous le sapin toute la soirée comme une vraie décoration de Noël. C'était gênant.»

    Claire

    23. Merci belle-maman:

    «Je passais Noël dans la famille de ma belle-mère. J'ai été la seule à ne pas recevoir de carte (avec un chèque) mais un énorme livre sur la première guerre mondiale... Je n'y suis jamais retournée!»

    Lily

    24. Mauvais timing:

    «Mon père a offert un cadeau à ma mère: une bague en diamants à 10.000 euros. Elle a fait la gueule toute la soirée parce qu'elle trouvait lamentable qu'il lui ait offert la veille et pas le jour de Noël.»

    LLL

    25. Bon appétit:

    «Noël dernier, nous avons accueilli la mère de mon père qui est sénile. Entre deux insultes envers mes parents et moi, elle a tout simplement vomi à table lors du repas du réveillon. Miam.»

    Gaëlle