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    20 mensonges que vos parents vous ont tous racontés

    Classés du plus innocent au plus traumatisant.

    20. « Le Père Noël te surveille. »

    Gravité du mensonge : Bénin.

    Pourquoi ? D'abord, on ne le dit que lorsque nos enfants se comportent mal et qu'ils ont besoin qu'on les engueule. Et puis ce mensonge nous conduit au final à leur offrir des cadeaux. Quand vous êtes plus vieux, les gens qui vous mentent ne vous offre rien par la suite. Ce mensonge est donc le meilleur des mensonges.

    19. « Si tu bois ton lait, tu deviendras grand et fort ! »

    Gravité du mensonge : Bof.

    Pourquoi ? Nous savons tous que la génétique est responsable à 95% de notre taille adulte, mais le lait est bon pour les enfants. Si ce petit mensonge signifie qu'ils se retrouvent avec des os et des dents plus solides, il n'y a pas de quoi culpabiliser.

    18. « C'est l'heure d'aller se coucher ! » (annoncé 30 minutes avant l'heure du coucher)

    Gravité du mensonge : Mouais, ça va.

    Pourquoi ? Quel est le crime ici ? D'avoir fait dormir votre enfant plus longtemps ? Un jour, ils rêveront de pouvoir dormir un petit peu plus.

    17. « C'était super ! »

    Gravité du mensonge : Pas de quoi fouetter un chat, comme on dit.

    Pourquoi ? D'accord, votre enfant ne deviendra peut-être pas la prochaine danseuse étoile ou l'avant-centre du PSG, et alors ? Il a fait de son mieux, et avoir un peu de soutien parental est toujours une bonne chose quand on est petit.

    16. « On y est presque ! » au milieu d'un trajet routier particulièrement pénible.

    Gravité du mensonge : Pas non plus traumatisant.

    Pourquoi ? Qu'est-ce qu'on est censé faire ? Dire à nos enfants : " plus que quatre heures et demie ! " Tous les parents se sont déjà retrouvés coincés avec un enfant impatient durant un long trajet, et dans ces moments-là ce mensonge pourrait presque être considéré comme de la charité.

    15. Le classique « Je repasse dans une minute » quand vous dites bonne nuit.

    Gravité du mensonge : C'est un peu l'équivalent d'une petite réplique d'un petit tremblement de terre.

    Pourquoi ? Nos enfants vont s'endormir dans quelques minutes de toutes façons. Quel mal cela fait-il de dire que nous allons repasser dans une minute ?

    14. « Si tu continues à faire cette tête, ton visage va rester coincé comme ça. »

    Gravité du mensonge : Un petit séisme.

    Pourquoi ? Peut-être que leurs visages ne vont pas se figer comme ça, mais bon. Ils ne peuvent pas continuer à faire ces têtes ridicules toute leur vie.

    13. « On n'a plus de [insérer ici le nom d'une sucrerie]. »

    Gravité du mensonge : Toute vérité est relative, n'est-ce pas ?

    Pourquoi ? C'est normal de vouloir que nos enfants arrêtent de manger autant de cochonneries, mais vos enfants peuvent facilement découvrir votre subterfuge. D'habitude les enfants savent exactement combien il reste d'Oréos dans la maison à tout moment, donc il vaudrait mieux que vous sachiez très bien bluffer.

    12. « Je ne sais pas. »

    Gravité du mensonge : Pas très cool.

    Pourquoi ? Je comprends. Les enfants posent des tas et des tas de questions, mais ils essaient seulement d'apprendre sur le monde. Encourager leur curiosité est probablement ce qu'on devrait faire si on veut un jour être l'heureux propriétaire d'une tasse avec l'inscription " Meilleur parent du monde ". Plutôt que de les rembarrer parce qu'on n'a pas envie de s'en occuper.

    11. « On verra. »

    Gravité du mensonge : Ça me rappelle des moments douloureux de mon enfance.

    Pourquoi ? Nous disons tous ça - et nos parents l'ont fait avant nous - mais nous savons tous que " on verra " signifie vraiment " ça n'arrivera pas ". Pourquoi ne pas dire simplement, " non " ?

    10. « On reviendra une autre fois. »

    Gravité du mensonge : Hum.

    Pourquoi ? Faut arrêter de se mentir - on sait très bien qu'on ne reviendra jamais (ou du moins pas avant très, très longtemps). Ce mensonge peut calmer la grogne d'un enfant pendant une minute, mais il lui donne aussi de faux espoirs (ce qui conduit à plus de grogne plus tard).

    9. « Um, la nourriture n'était plus bonne. »

    Gravité du mensonges : Aïe.

    Pourquoi ? Mentir pour cacher que nous avons mangé les restes du gâteau de notre enfant n'est pas l'un des plus beaux mensonges que nous racontons, surtout quand on l'a englouti comme un animal au-dessus de l'évier.

    8. « Allez, mange. C'est du poulet. »

    Gravité du mensonge : Là ça commence à vraiment craindre un peu.

    Pourquoi ? C'est une chose de mentir sur le fait d'avoir mangé la nourriture de notre enfant, mais le tromper pour lui faire manger quelque chose qu'il n'aurait pas mangé autrement, c'est un peu minable quand on y pense.

    7. « Je n'aurais jamais fait ça quand j'avais ton âge. »

    Gravité du mensonge : Vraiment pas sympa.

    Pourquoi ? Laisser nos enfants penser que nous étions parfaits à l'époque où, en réalité, nous n'étions pas mieux qu'eux, est un peu salaud. Si nous ne contrôlons pas ce genre de révisionnisme nous allons bientôt raconter que nous allions à l'école à pied en gravissant une pente en pleine tempête de neige.

    6. « Le parc est fermé. »

    Gravité du mensonge : Non.

    Pourquoi ? Là, c'est vraiment mentir à un enfant. Et, qu'est-ce qu'on est censé dire quand nos enfants hurlent qu'ils voient des gens dans le parc quand nous passons devant ? Leur dire que ce sont des fantômes ?

    5. « Je sais toujours quand tu mens. »

    Gravité du mensonge : Sérieux ?

    Pourquoi ? Alors maintenant, on est omniscient ? Ce mensonge va nouer les estomacs de nos enfants, et ça n'en vaut vraiment pas la peine. S'ils sont assez jeunes pour nous croire, ils sont trop jeunes pour dire un mensonge important de toute façon.

    4. « Le chien est parti vivre dans la forêt. »

    Gravité du mensonge : Vraiment pas bien.

    Pourquoi ? Un chien fait partie de la famille. Nos enfants méritent de connaître la vérité, même quand ce n'est pas facile. On va pas leur dire que grand-mère est partie vivre dans la forêt, si ?

    3. « Je ne sais pas où est ton jouet. Tu dois l'avoir perdu. »

    Gravité du mensonge : Oula.

    Pourquoi ? Jeter (ou cacher) les jouets de nos enfants, puis leur faire croire que la disparition était de leur faute, peut perturber les enfants - particulièrement quand ils passent les deux jours qui suivent à les chercher.

    2. « Ça ne va pas faire mal. Je te le promets ! »

    Gravité du mensonge : Horrible.

    Pourquoi ? Nous promettons à nos enfants que l'aiguille ne fera pas mal, mais deux secondes plus tard, ça fait mal. TRÈS MAL. Cela les amène à beaucoup se méfier non seulement de nous, mais aussi des médecins en général.

    1. « Je pars sans toi ! »

    Gravité du mensonge : Traumatisant.

    Pourquoi ? Persuader nos enfants que nous allons les abandonner ? C'est assez minable, surtout quand nos enfants éclatent en sanglots et nous courent après :/ Ça sera sûrement discuté lors de ses séances de thérapie une fois adulte.