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    Ces photos en couleurs d'immigrants à New York sont incroyables

    La colorisation numérique montre les vêtements les plus incroyables de la planète.

    Voici quelques-uns des 12 millions d'hommes, femmes et enfants qui sont arrivés à Ellis Island, l'île new-yorkaise où arrivaient les personnes voulant émigrer aux États-Unis entre 1892 et 1954. Les portraits montrent les migrants portant les costumes traditionnels de leur pays d'origine, comme par exemple des uniformes militaires d'Albanie, des bonnets des Pays-Bas et des vêtements du peuple sami originaire des régions arctiques.

    Les photos ont été prises entre 1906 et 1914 par le photographe amateur Augustus Francis Sherman, le greffier en chef d'Ellis Island, la station d'immigration la plus active du pays. En 1907, certaines photos ont été publiées dans le National Geographic.

    Les spécialistes de la colorisation photographique de Dynamichrome ont travaillé minutieusement pour redonner vie à ces clichés en ajoutant de la couleur, utilisant des documents historiques pour trouver les couleurs exactes, notamment des cartes postales de l'époque et des photographies en couleurs ultérieures à cette période.

    La colorisation nous aide à imaginer l'éclat splendide que ces vêtements avaient à l'époque.

    Les photographies font partie du livre The Paper Time Machine qui fait actuellement l'objet d'une campagne de financement participatif.

    Utilisez le curseur pour voir la photo noir et blanc originale et l'image colorisée, accompagnée de légendes rédigées par Dynamichrome.

    Un Lapon, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le gákti est le costume traditionnel du peuple sami qui vit dans les régions arctiques allant du Nord de la Norvège à la péninsule de Kola en Russie. Il est traditionnellement fabriqué en cuir de rennes et en laine, mais le velours et la soie sont également utilisés, le pull (généralement bleu) étant accompagné par les couleurs contrastées des tresses, des broches et des bijoux. Les ornements sont spécifiques à chaque région et le gákti est porté dans les cérémonies, comme les mariages. De plus, il indique si quelqu'un est célibataire ou marié, il sert aussi de tenue de travail aux éleveurs de rennes.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le gákti est le costume traditionnel du peuple sami qui vit dans les régions arctiques allant du Nord de la Norvège à la péninsule de Kola en Russie. Il est traditionnellement fabriqué en cuir de rennes et en laine, mais le velours et la soie sont également utilisés, le pull (généralement bleu) étant accompagné par les couleurs contrastées des tresses, des broches et des bijoux. Les ornements sont spécifiques à chaque région et le gákti est porté dans les cérémonies, comme les mariages. De plus, il indique si quelqu'un est célibataire ou marié, il sert aussi de tenue de travail aux éleveurs de rennes.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le gákti est le costume traditionnel du peuple sami qui vit dans les régions arctiques allant du Nord de la Norvège à la péninsule de Kola en Russie. Il est traditionnellement fabriqué en cuir de rennes et en laine, mais le velours et la soie sont également utilisés, le pull (généralement bleu) étant accompagné par les couleurs contrastées des tresses, des broches et des bijoux. Les ornements sont spécifiques à chaque région et le gákti est porté dans les cérémonies, comme les mariages. De plus, il indique si quelqu'un est célibataire ou marié, il sert aussi de tenue de travail aux éleveurs de rennes.» –Dynamichrome

    Une femme ruthène, 1906

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Habitants historiques du royaume des Rus', qui s'étend aujourd'hui sur plusieurs pays de langue slave, cet exemple de costume traditionnel ruthène se compose d'une chemise et d'un jupon en lin qui a été brodé de motifs floraux traditionnels. La veste sans manches a été cousue à partir de morceaux de peau de mouton.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Habitants historiques du royaume des Rus', qui s'étend aujourd'hui sur plusieurs pays de langue slave, cet exemple de costume traditionnel ruthène se compose d'une chemise et d'un jupon en lin qui a été brodé de motifs floraux traditionnels. La veste sans manches a été cousue à partir de morceaux de peau de mouton.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Habitants historiques du royaume des Rus', qui s'étend aujourd'hui sur plusieurs pays de langue slave, cet exemple de costume traditionnel ruthène se compose d'une chemise et d'un jupon en lin qui a été brodé de motifs floraux traditionnels. La veste sans manches a été cousue à partir de morceaux de peau de mouton.» –Dynamichrome

    Un Cosaque, vers 1906–1914

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Cosaques étaient de célèbres soldats qui, à l'époque où cette photographie a été prise, étaient souvent garde-frontières ou policiers. Un soldat cosaque était tenu de payer ses propres armes, ses chevaux et son uniforme. L'homme en photo était probablement un Cosaque de l'armée russe, reconnaissable à son chapeau, un papakha en laine d'agneau, et à son manteau vert avec des accents de jaune appelé une tcherkeska. Le manteau comporte un certain nombre de poches pour loger les gaziri, des cartouches pour les premières armes à feu.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Cosaques étaient de célèbres soldats qui, à l'époque où cette photographie a été prise, étaient souvent garde-frontières ou policiers. Un soldat cosaque était tenu de payer ses propres armes, ses chevaux et son uniforme. L'homme en photo était probablement un Cosaque de l'armée russe, reconnaissable à son chapeau, un papakha en laine d'agneau, et à son manteau vert avec des accents de jaune appelé une tcherkeska. Le manteau comporte un certain nombre de poches pour loger les gaziri, des cartouches pour les premières armes à feu.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Cosaques étaient de célèbres soldats qui, à l'époque où cette photographie a été prise, étaient souvent garde-frontières ou policiers. Un soldat cosaque était tenu de payer ses propres armes, ses chevaux et son uniforme. L'homme en photo était probablement un Cosaque de l'armée russe, reconnaissable à son chapeau, un papakha en laine d'agneau, et à son manteau vert avec des accents de jaune appelé une tcherkeska. Le manteau comporte un certain nombre de poches pour loger les gaziri, des cartouches pour les premières armes à feu.» –Dynamichrome

    Une fille d'Alsace-Lorraine, 1906

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Originaire de la région germanophone d'Alsace, ce grand ruban, appelé schlupfkàpp, était porté par les femmes célibataires. Les rubans indiquaient la religion de la personne qui le portait: noir pour les protestants, alors que les catholiques préféraient les couleurs vives.» –Dynamichrome

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    «Originaire de la région germanophone d'Alsace, ce grand ruban, appelé schlupfkàpp, était porté par les femmes célibataires. Les rubans indiquaient la religion de la personne qui le portait: noir pour les protestants, alors que les catholiques préféraient les couleurs vives.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Originaire de la région germanophone d'Alsace, ce grand ruban, appelé schlupfkàpp, était porté par les femmes célibataires. Les rubans indiquaient la religion de la personne qui le portait: noir pour les protestants, alors que les catholiques préféraient les couleurs vives.» –Dynamichrome

    Un berger roumain, 1906

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «La cape de berger traditionnelle est appelée une sarică. Elle était fabriquée à partir de trois ou quatre peaux de mouton cousues ensemble avec la toison tournée vers l'extérieur. Elle tombait généralement au-dessous du genou pour pouvoir être utilisée comme oreiller quand le berger dormait à l'extérieur. La peau de mouton était également utilisée pour fabriquée le cojoc du berger, un manteau à manches brodées auquel étaient ajoutés des glands, des bandes de cuir et d'autres petits éléments décoratifs. Cet exemplaire particulier n'était pas utilisé à des fins pratiques, compte tenu de la quantité d'ornements qui l'agrémentait.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «La cape de berger traditionnelle est appelée une sarică. Elle était fabriquée à partir de trois ou quatre peaux de mouton cousues ensemble avec la toison tournée vers l'extérieur. Elle tombait généralement au-dessous du genou pour pouvoir être utilisée comme oreiller quand le berger dormait à l'extérieur. La peau de mouton était également utilisée pour fabriquée le cojoc du berger, un manteau à manches brodées auquel étaient ajoutés des glands, des bandes de cuir et d'autres petits éléments décoratifs. Cet exemplaire particulier n'était pas utilisé à des fins pratiques, compte tenu de la quantité d'ornements qui l'agrémentait.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «La cape de berger traditionnelle est appelée une sarică. Elle était fabriquée à partir de trois ou quatre peaux de mouton cousues ensemble avec la toison tournée vers l'extérieur. Elle tombait généralement au-dessous du genou pour pouvoir être utilisée comme oreiller quand le berger dormait à l'extérieur. La peau de mouton était également utilisée pour fabriquée le cojoc du berger, un manteau à manches brodées auquel étaient ajoutés des glands, des bandes de cuir et d'autres petits éléments décoratifs. Cet exemplaire particulier n'était pas utilisé à des fins pratiques, compte tenu de la quantité d'ornements qui l'agrémentait.» –Dynamichrome

    Une femme italienne, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Cette tenue traditionnelle était très probablement filée à la maison et consistait en une longue et large robe qui allait jusqu'aux chevilles. Ci-dessus, le corsage et les manches étaient liés de manière à laisser apparaître des parties de la blouse en lin et les couleurs et les matériaux étaient généralement de la région. Les châles et les voiles étaient également des accessoires courants, et un tablier orné de brocarts floraux était porté pour les occasions spéciales, telles que les mariages.» –Dynamichrome

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    «Cette tenue traditionnelle était très probablement filée à la maison et consistait en une longue et large robe qui allait jusqu'aux chevilles. Ci-dessus, le corsage et les manches étaient liés de manière à laisser apparaître des parties de la blouse en lin et les couleurs et les matériaux étaient généralement de la région. Les châles et les voiles étaient également des accessoires courants, et un tablier orné de brocarts floraux était porté pour les occasions spéciales, telles que les mariages.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Cette tenue traditionnelle était très probablement filée à la maison et consistait en une longue et large robe qui allait jusqu'aux chevilles. Ci-dessus, le corsage et les manches étaient liés de manière à laisser apparaître des parties de la blouse en lin et les couleurs et les matériaux étaient généralement de la région. Les châles et les voiles étaient également des accessoires courants, et un tablier orné de brocarts floraux était porté pour les occasions spéciales, telles que les mariages.» –Dynamichrome

    Un garçon hindou, 1911

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le topi (un mot qui signifie "calotte") est porté dans le sous-continent indien avec de nombreuses variations régionales et significations culturelles. Il est particulièrement populaire dans les communautés musulmanes, où il est appelé un taqiyah. Le khadi en coton et le châle de prières sont filés à la maison, très probablement sur un charkha (un rouet), et sont portés tout au long de l'année.» –Dynamichrome

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    «Le topi (un mot qui signifie "calotte") est porté dans le sous-continent indien avec de nombreuses variations régionales et significations culturelles. Il est particulièrement populaire dans les communautés musulmanes, où il est appelé un taqiyah. Le khadi en coton et le châle de prières sont filés à la maison, très probablement sur un charkha (un rouet), et sont portés tout au long de l'année.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le topi (un mot qui signifie "calotte") est porté dans le sous-continent indien avec de nombreuses variations régionales et significations culturelles. Il est particulièrement populaire dans les communautés musulmanes, où il est appelé un taqiyah. Le khadi en coton et le châle de prières sont filés à la maison, très probablement sur un charkha (un rouet), et sont portés tout au long de l'année.» –Dynamichrome

    Une femme guadeloupéenne, 1911

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «La coiffe en tartan très élaborée portée par les femmes guadeloupéennes remonte au Moyen Âge, lorsque la ville indienne de Madras était célèbre pour ses fabriques du coton. D'abord uni, puis rayé, puis avec des motifs plus élaborés, le tissu de Madras, qui a été exporté, puis utilisé comme turban, a été influencé par les Écossais dans l'Inde coloniale. Cela a donné un tartan de Madras connu sous le nom "Madrasi checks" qui s'est répandu dans les empires coloniaux et vers les Caraïbes françaises. Comme beaucoup de costumes traditionnels à travers la planète, les ornements de la coiffe indiquaient dans de nombreux cas l'état civil de la personne qui la portait.» –Dynamichrome

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    «La coiffe en tartan très élaborée portée par les femmes guadeloupéennes remonte au Moyen Âge, lorsque la ville indienne de Madras était célèbre pour ses fabriques du coton. D'abord uni, puis rayé, puis avec des motifs plus élaborés, le tissu de Madras, qui a été exporté, puis utilisé comme turban, a été influencé par les Écossais dans l'Inde coloniale. Cela a donné un tartan de Madras connu sous le nom "Madrasi checks" qui s'est répandu dans les empires coloniaux et vers les Caraïbes françaises. Comme beaucoup de costumes traditionnels à travers la planète, les ornements de la coiffe indiquaient dans de nombreux cas l'état civil de la personne qui la portait.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «La coiffe en tartan très élaborée portée par les femmes guadeloupéennes remonte au Moyen Âge, lorsque la ville indienne de Madras était célèbre pour ses fabriques du coton. D'abord uni, puis rayé, puis avec des motifs plus élaborés, le tissu de Madras, qui a été exporté, puis utilisé comme turban, a été influencé par les Écossais dans l'Inde coloniale. Cela a donné un tartan de Madras connu sous le nom "Madrasi checks" qui s'est répandu dans les empires coloniaux et vers les Caraïbes françaises. Comme beaucoup de costumes traditionnels à travers la planète, les ornements de la coiffe indiquaient dans de nombreux cas l'état civil de la personne qui la portait.» –Dynamichrome

    Un soldat albanais, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Ce chapeau en feutre à bords coupés est appelé un qeleshe et sa forme varie fortement selon la région et la tête sur laquelle il a été moulé. Le gilet, appelé jelek ou xhamadan, était décoré de tresses de soie brodées ou de coton; sa couleur et ses ornements indiquaient la région et le rang social de la personne qui le portait. Ce soldat était très probablement des régions du Nord-Est de l'Albanie, à en juger par la coupe et la couleur de sa tenue.» –Dynamichrome

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    «Ce chapeau en feutre à bords coupés est appelé un qeleshe et sa forme varie fortement selon la région et la tête sur laquelle il a été moulé. Le gilet, appelé jelek ou xhamadan, était décoré de tresses de soie brodées ou de coton; sa couleur et ses ornements indiquaient la région et le rang social de la personne qui le portait. Ce soldat était très probablement des régions du Nord-Est de l'Albanie, à en juger par la coupe et la couleur de sa tenue.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Ce chapeau en feutre à bords coupés est appelé un qeleshe et sa forme varie fortement selon la région et la tête sur laquelle il a été moulé. Le gilet, appelé jelek ou xhamadan, était décoré de tresses de soie brodées ou de coton; sa couleur et ses ornements indiquaient la région et le rang social de la personne qui le portait. Ce soldat était très probablement des régions du Nord-Est de l'Albanie, à en juger par la coupe et la couleur de sa tenue.» –Dynamichrome

    Mgr Joseph Vasilon, prête orthodoxe grec, 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les parements sacrés de l'Église orthodoxe grecque sont restés en grande partie identiques. Sur cette photo, le prêtre porte un anteri, une soutane longue jusqu'aux chevilles portée par les membres du clergé et sur laquelle un amaniko, une sorte de gilet-soutane, était parfois revêtu, avant la soutane externe noire connue sous le nom d'exorason. Le chapeau cylindrique rigide est appelé kamilavkion, il est porté durant les offices.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les parements sacrés de l'Église orthodoxe grecque sont restés en grande partie identiques. Sur cette photo, le prêtre porte un anteri, une soutane longue jusqu'aux chevilles portée par les membres du clergé et sur laquelle un amaniko, une sorte de gilet-soutane, était parfois revêtu, avant la soutane externe noire connue sous le nom d'exorason. Le chapeau cylindrique rigide est appelé kamilavkion, il est porté durant les offices.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les parements sacrés de l'Église orthodoxe grecque sont restés en grande partie identiques. Sur cette photo, le prêtre porte un anteri, une soutane longue jusqu'aux chevilles portée par les membres du clergé et sur laquelle un amaniko, une sorte de gilet-soutane, était parfois revêtu, avant la soutane externe noire connue sous le nom d'exorason. Le chapeau cylindrique rigide est appelé kamilavkion, il est porté durant les offices.» –Dynamichrome

    Une femme néerlandaise, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le grand bonnet, sans doute l'un des éléments les plus reconnaissables de la robe traditionnelle néerlandaise, était généralement en coton blanc ou en dentelle. Il avait parfois des volets ou des ailes et était souvent porté avec un capuchon. Le reste du costume variait selon les régions, fabriqué soit en coton, en lin ou en laine et décoré de motifs floraux brodés. Un corsage à manches couvrait la moitié supérieure du corps. De couleur sombre, il était contrasté par une tunique colorée comme sur cette photographie.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le grand bonnet, sans doute l'un des éléments les plus reconnaissables de la robe traditionnelle néerlandaise, était généralement en coton blanc ou en dentelle. Il avait parfois des volets ou des ailes et était souvent porté avec un capuchon. Le reste du costume variait selon les régions, fabriqué soit en coton, en lin ou en laine et décoré de motifs floraux brodés. Un corsage à manches couvrait la moitié supérieure du corps. De couleur sombre, il était contrasté par une tunique colorée comme sur cette photographie.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le grand bonnet, sans doute l'un des éléments les plus reconnaissables de la robe traditionnelle néerlandaise, était généralement en coton blanc ou en dentelle. Il avait parfois des volets ou des ailes et était souvent porté avec un capuchon. Le reste du costume variait selon les régions, fabriqué soit en coton, en lin ou en laine et décoré de motifs floraux brodés. Un corsage à manches couvrait la moitié supérieure du corps. De couleur sombre, il était contrasté par une tunique colorée comme sur cette photographie.» –Dynamichrome

    Un Danois, 1909

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Danois s'habillaient simplement, avec seulement des vêtements plus élaborés pour les occasions spéciales comme les mariages ou pour aller à l'église le dimanche. Comme beaucoup d'autres pays avant l'industrialisation, beaucoup de vêtements étaient filés à la maison par les femmes danoises, ou par des tisserands professionnels. Ils étaient d'habitude en laine et en lin, des tissus chauds et facilement accessibles. Les coupes et les motifs changeaient en fonction des régions et les teintures étaient peu nombreuses, souvent fabriquées à partir de végétaux. Les hommes portaient souvent plusieurs chemises sous leurs vestes, agrémentées de boutons argentés et d'autres détails décoratifs qui marquaient le statut social et l'origine.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Danois s'habillaient simplement, avec seulement des vêtements plus élaborés pour les occasions spéciales comme les mariages ou pour aller à l'église le dimanche. Comme beaucoup d'autres pays avant l'industrialisation, beaucoup de vêtements étaient filés à la maison par les femmes danoises, ou par des tisserands professionnels. Ils étaient d'habitude en laine et en lin, des tissus chauds et facilement accessibles. Les coupes et les motifs changeaient en fonction des régions et les teintures étaient peu nombreuses, souvent fabriquées à partir de végétaux. Les hommes portaient souvent plusieurs chemises sous leurs vestes, agrémentées de boutons argentés et d'autres détails décoratifs qui marquaient le statut social et l'origine.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Les Danois s'habillaient simplement, avec seulement des vêtements plus élaborés pour les occasions spéciales comme les mariages ou pour aller à l'église le dimanche. Comme beaucoup d'autres pays avant l'industrialisation, beaucoup de vêtements étaient filés à la maison par les femmes danoises, ou par des tisserands professionnels. Ils étaient d'habitude en laine et en lin, des tissus chauds et facilement accessibles. Les coupes et les motifs changeaient en fonction des régions et les teintures étaient peu nombreuses, souvent fabriquées à partir de végétaux. Les hommes portaient souvent plusieurs chemises sous leurs vestes, agrémentées de boutons argentés et d'autres détails décoratifs qui marquaient le statut social et l'origine.» –Dynamichrome

    Un joueur de flûte roumain, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Ce crojoc –le manteau en peau de mouton à manches brodées porté par le musicien– est beaucoup plus simple que celui du berger, ce qui le rend plus pratique, adapté pour le travail, et suggère que le sujet est de la classe ouvrière, étant donné le manque d'ornements et le chapeau de paille. Le gilet, appelé un pieptar, est porté à la fois par les hommes et les femmes, et les petits gilets sont faits en agneau.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Ce crojoc –le manteau en peau de mouton à manches brodées porté par le musicien– est beaucoup plus simple que celui du berger, ce qui le rend plus pratique, adapté pour le travail, et suggère que le sujet est de la classe ouvrière, étant donné le manque d'ornements et le chapeau de paille. Le gilet, appelé un pieptar, est porté à la fois par les hommes et les femmes, et les petits gilets sont faits en agneau.» –Dynamichrome

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    «Ce crojoc –le manteau en peau de mouton à manches brodées porté par le musicien– est beaucoup plus simple que celui du berger, ce qui le rend plus pratique, adapté pour le travail, et suggère que le sujet est de la classe ouvrière, étant donné le manque d'ornements et le chapeau de paille. Le gilet, appelé un pieptar, est porté à la fois par les hommes et les femmes, et les petits gilets sont faits en agneau.» –Dynamichrome

    Un Algérien, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «L'identité algérienne est façonnée par les cultures berbère, arabe, africaine et méditerranéenne. Le kéfié est un carré de tissu plié en triangle et fixé sur la tête par un iqual, un cercle en poils de chameau. La tunique caftan, portée dans de nombreuses cultures, est souvent fabriquée en laine, en soie ou en coton, alors que le manteau, appelé burnous, est fabriqué en tissu de laine. Il est porté avec une capuche et sa couleur va du blanc au marron foncé selon la région.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «L'identité algérienne est façonnée par les cultures berbère, arabe, africaine et méditerranéenne. Le kéfié est un carré de tissu plié en triangle et fixé sur la tête par un iqual, un cercle en poils de chameau. La tunique caftan, portée dans de nombreuses cultures, est souvent fabriquée en laine, en soie ou en coton, alors que le manteau, appelé burnous, est fabriqué en tissu de laine. Il est porté avec une capuche et sa couleur va du blanc au marron foncé selon la région.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «L'identité algérienne est façonnée par les cultures berbère, arabe, africaine et méditerranéenne. Le kéfié est un carré de tissu plié en triangle et fixé sur la tête par un iqual, un cercle en poils de chameau. La tunique caftan, portée dans de nombreuses cultures, est souvent fabriquée en laine, en soie ou en coton, alors que le manteau, appelé burnous, est fabriqué en tissu de laine. Il est porté avec une capuche et sa couleur va du blanc au marron foncé selon la région.» –Dynamichrome

    Un Bavarois, vers 1910

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le costume traditionnel allemand est appelé tracht, et, comme tant d'autres, il varie en fonction des régions. Dans les régions alpines d'Allemagne, comme la Bavière, une culotte en cuir appelée lederhosen était souvent portée par les paysans, bien que dans l'Allemagne moderne, la plupart des gens associent le vêtement à l'Oktoberfest. La veste grise, appelée trachtenjacke, est fabriquée en laine feutrée et est ornée de boutons en corne. Elle est souvent portée par les chasseurs de la région.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le costume traditionnel allemand est appelé tracht, et, comme tant d'autres, il varie en fonction des régions. Dans les régions alpines d'Allemagne, comme la Bavière, une culotte en cuir appelée lederhosen était souvent portée par les paysans, bien que dans l'Allemagne moderne, la plupart des gens associent le vêtement à l'Oktoberfest. La veste grise, appelée trachtenjacke, est fabriquée en laine feutrée et est ornée de boutons en corne. Elle est souvent portée par les chasseurs de la région.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le costume traditionnel allemand est appelé tracht, et, comme tant d'autres, il varie en fonction des régions. Dans les régions alpines d'Allemagne, comme la Bavière, une culotte en cuir appelée lederhosen était souvent portée par les paysans, bien que dans l'Allemagne moderne, la plupart des gens associent le vêtement à l'Oktoberfest. La veste grise, appelée trachtenjacke, est fabriquée en laine feutrée et est ornée de boutons en corne. Elle est souvent portée par les chasseurs de la région.» –Dynamichrome

    Une femme norvégienne, vers 1906–1914

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le bunad est un terme générique désignant le costume traditionnel norvégien, symbole de l'identité nationale, bien que les costumes eux-mêmes, comme tant d'autres, varient selon la région, la tradition et le matériel disponible. Dans la campagne norvégienne, les vêtements étaient souvent fabriqués à la maison et en laine, alors que la soie ou d'autres tissus importés étaient disponibles. Les ornements étaient riches ou parcimonieux selon la région et si la robe était considérée (ou non) comme un habit du dimanche. Dans une grande partie de la Norvège rurale, les femmes se couvraient les cheveux pour signifier qu'elles étaient mariées.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le bunad est un terme générique désignant le costume traditionnel norvégien, symbole de l'identité nationale, bien que les costumes eux-mêmes, comme tant d'autres, varient selon la région, la tradition et le matériel disponible. Dans la campagne norvégienne, les vêtements étaient souvent fabriqués à la maison et en laine, alors que la soie ou d'autres tissus importés étaient disponibles. Les ornements étaient riches ou parcimonieux selon la région et si la robe était considérée (ou non) comme un habit du dimanche. Dans une grande partie de la Norvège rurale, les femmes se couvraient les cheveux pour signifier qu'elles étaient mariées.» –Dynamichrome

    Augustus Francis Sherman / New York Public Library / Dynamichrome / Via digitalcollections.nypl.org

    «Le bunad est un terme générique désignant le costume traditionnel norvégien, symbole de l'identité nationale, bien que les costumes eux-mêmes, comme tant d'autres, varient selon la région, la tradition et le matériel disponible. Dans la campagne norvégienne, les vêtements étaient souvent fabriqués à la maison et en laine, alors que la soie ou d'autres tissus importés étaient disponibles. Les ornements étaient riches ou parcimonieux selon la région et si la robe était considérée (ou non) comme un habit du dimanche. Dans une grande partie de la Norvège rurale, les femmes se couvraient les cheveux pour signifier qu'elles étaient mariées.» –Dynamichrome