J'adore chaque centimètre carré de ma peau pour plusieurs raisons, mais j'aime surtout mon dos car j'ai attendu 17 ans pour le faire, et le résultat est exactement à la hauteur de ce que j'imaginais.
J'avais 16 ans quand je me suis fait tatouer un petit lézard sur la hanche. Mes parents m'ont dit : "mais comment tu vas pouvoir trouver un boulot maintenant ?"
J'adore la façon dont [les tatouages] changent en même temps que mon corps vieillit ; les plis et les rides modifient leur aspect.
Quand est-ce que je vais arrêter de me faire tatouer ? Jamais.
J'adore mes tatouages ; si vous, vous ne les aimez pas, personne ne vous force à les regarder. Je me fiche de savoir comment je me sentirai quand je serai vieux.
J'ai eu mon premier tatouage à 13 ans, et je n'en ai parlé à personne pendant 10 ans. Cela fait partie de moi et je ne deviendrai jamais vieux.
Je ne pense pas que je changerai un jour d'avis sur mes tatouages. Je n'ai pas l'impression que j'aurai un jour des regrets, quel que soit mon âge.
Au point où j'en suis, je ne peux plus revenir en arrière. Ça fait un mal de chien, mais je ne changerais mon look pour rien au monde.
J'adore être différente, on me parle de mes tatouages au moins une fois par jour, et les gens réagissent toujours positivement. Un bon tatouage n'est pas donné, un tatouage donné n'est pas bon.
J'adore mes tatouages ; c'est un véritable état d'esprit pour moi et je continuerai de me faire tatouer aussi longtemps que possible.
Mon tatouage de Kiss est mon préféré ; ça m'a fait incroyablement mal mais j'adore pouvoir montrer que je suis entièrement dévouée à ce groupe.
Alan Powdrill recherche des modèles pour participer à Covered, son projet photo sur les tatouages. Vous pouvez le contacter sur Twitter.