1. Ingrid, Pedro, Silvia, Roberto et Lola... Nos copains espagnols qu'on aimait retrouver après le lycée.
2. CE générique qu'on avait envie d'écouter en boucle.
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Un, dos, tres, quatro.... Un, dos, tres, quatro... Un, dos, tres, quatro.
3. Lola.
4. Lola et ses danses.
5. Lola et ses looks.
6. Lola et ses cheveux.
7. Sinon, Un, dos, tres, c'était surtout l'histoire d'étudiants dans une école d'art avec beaucoup de danse.
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Un peu comme une pâle copie de la Star Ac' avec danse, cours de chant et d'expression scénique. Il manque plus que Nikos et on est bon.
8. La seule école où les gens se mettaient à danser, comme ça. Pour rien.
9. Même dans les rues de Madrid.
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OKLM.
10. Heureusement, il n'y a pas que Lola. Mais aussi Ingrid belle, forte et rousse, l'autre personnage cool de la série.
11. Bon, son histoire d'amour avec Juan (le prof de musique) était mi-chou, mi-chiante.
12. Tout ça à cause de Diana, la prof la plus relou mais aussi la plus bonnasse du casting.
13. L'histoire de Pedro et Lola était de loin, la plus romantique.
14. Beaucoup trop de love.
15. Moins chelou que ce triangle amoureux.
16. Silvia, la fille trop belle qu'on adorait détester.
18. Ça, c'était l'autre couple un peu chiant: Adela et Cristobal.
Lui, complètement amoureux niais devant elle. Elle, un peu méchante sur les bords.
19. En plus Adela se tapait Pedro (seulement) quand elle s'ennuyait.
20. Et sa soeur Martha... À t-on vraiment besoin d'en parler?
21. On peut aussi citer Jero dans les chiants, le premier petit-ami de Lola.
22. L'autre personne importante dans la vie d'Adela, c'était Carmen Arranz (le nom de l'école), son espèce de mère trop protectrice.
23. Sinon, on se rappelle bien sûr de Roberto, crâneur, râleur mais tellement beau gosse quoi.
24. Et cette joie de savoir qu'il faisait partie de l'émission Danse avec les stars en 2014.
25. Non mais ROBERTO.
26. Torse nu 97% du temps...
27. Toujours dans les beaux gosses, n'oublions pas Pavel.
28. !!!
29. Il y a ceux qui préféraient les profs aux élèves, comme Juan, le bourrin rockeur au coeur tendre.
30. Ou Cristobal, au charme indéniable.
31. Et Horacio qui arrive plus tard dans la série. Le bourreau des coeurs qui finit avec Alicia, la tante de Silvia.
32. En fait, Un, dos, tres, c'était surtout un prétexte pour créer un groupe à la mode un peu mielleux.
33. Qui nous faisait chanter ça. Et qu'on connaissait par cœur.
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«Con todo tu cuerpo, de pies y mano...»
34. Dans les nombreux WTF de la série, on ne comprendra jamais comment Jonathan Cerrada a atterrit dans le feuilleton pour jouer le rôle du cousin de Lola et sortir avec Silvia...
35. Et les figurants aux looks techno qu'on voyait TOUT LE TEMPS, mais on ne savait jamais vraiment qui ils étaient.
36. Plaisir coupable ou non, Un, dos, tres restera l'une des meilleures séries de cet âge ingrat qui nous aura fait kiffer l'Espagne.
