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17 histoires paranormales qui vous feront perdre le sommeil

On vous a demandé de nous raconter les trucs les plus flippants qui vous étaient arrivés. Voici vos réponses.

On a tous une histoire bizarre de poupée flippante, de phénomènes inexpliqués ou de bruits angoissants en plein milieu de la nuit...

Pour Halloween, on vous a demandé de nous raconter les trucs ~paranormaux~ les plus flippants qui vous étaient arrivés. Voici vos histoires.

1. Ces mystérieuses empreintes de pieds:

«J'ai toujours su que ma maison était hantée. Elle a presque un siècle et sa précédente propriétaire est morte dedans. Il y a régulièrement des objets qui disparaissent ou changent de place et parfois même des portes/tiroirs qui s'ouvrent seuls. Mais le truc le plus flippant qui m'est arrivé c'est d'avoir trouvé une emprunte de main sur une fenêtre qui n'avait pas été ouverte depuis des mois sur la vitre extérieure du 2ème étage et des empreintes de pieds à mon plafond le même jour.»

Marina3840

2. Cette apparition très flippante:

«Je me souviens très bien de ce moment. Je venais d'arriver en France. J'habitais dans un petit village de Bourgogne. Il était 3h du matin environ. Je me réveille pour aller aux toilettes.

Comme toute personne au réveil, je suis dans les vapes, mes yeux ouverts à moitié, je vois flou.

Les toilettes se situent juste en face de la porte de la chambre, séparées par un long couloir qui mène vers l'entrée de la maison. Pour accéder aux toilettes je devais donc traverser le couloir en largeur.

Après avoir fait pipi je retourne me coucher. Sauf qu'au moment de traverser pour retourner dans la chambre je m'arrête.

J'ai vu une silhouette noire au bout du couloir, vers l'entrée, la silhouette se dirigeait vers la sortie. Il faisait nuit et je ne voyais rien de loin, je voyais flou. Une voix émane de la silhouette et me dit alors dans ma langue maternelle "tu fais quoi, va vite te rendormir" d'un ton pressé. J'ai reconnu la voix de mon père.

Cependant à l'époque mon père travaillait très loin de la maison et ne rentrait jamais vers 3h du matin mais plutôt dans l'après-midi. Il passait la nuit sur son lieu de travail. Mais naïvement je me suis dis "ah il est rentré tôt cette fois, c'est génial".

Je continue donc mon chemin, je retourne me coucher. Le lendemain au réveil je demande à ma mère où était mon père car je l'ai vu rentrer.

Elle m'a répondu "il est au travail, qu'est ce que tu dis".»

giveashito_ua

3. Ces bruits de pas:

«Chez mes parents, tous les soirs aux alentours de minuit 15, j'entends une série de pas sur le toit au-dessus de ma chambre. Tous les soirs, ce sont exactement les mêmes sons, la même allure et les mêmes bruits. Tous les fucking soirs.»

Paul A.

4. Cette poupée maléfique:

«Ma famille est adepte de spiritisme, alors ce ne sont pas les exemples qui manquent :) Mais mon anecdote préférée concerne ma grand-mère. Je dormais chez elle un soir, et en face de mon lit, pile devant moi, se trouvait une poupée de porcelaine, trônant sur son petit meuble. (Je HAIS les poupées.) C'était une poupée vraiment terrifiante: au visage d'albâtre et aux grands yeux vides, vêtue de petites sandales noires et d'une jolie petite robe à froufrous. Horrible. J'avais beau essayer de dormir, son regard fixe et ses longs cils noirs me paralysaient. Alors au bout d'une heure, je me suis levée et je lui ai mis une couverture sur la tronche. J'ai finalement pu dormir tranquille.

Le lendemain, au petit-déjeuner, j'ai alpagué ma grand-mère d'un: "Dis donc mamie, c'est un peu sadique de ta part de mettre une poupée juste en face du lit, c'est un peu flippant quand même." Elle a froncé les sourcils et m'a répondu, interloquée: "De quoi est-ce que tu parles? Quelle poupée?"

Autant vous dire que j'ai frôlé la crise d'apoplexie.»

Laura Esculape

5. Cette inquiétante prémonition:

«J'avais 2 ou 3 ans et mon grand frère était parti en classe de neige dans les Pyrénées. C'était dimanche, on prenait un goûter avec mes parents et mes grands-parents, et soudain j'ai dit: "Attention, le plafond va tomber." Ma mère m'a demandé pourquoi je disais ça et je n'ai pas su lui répondre. Le soir venu, mon frère a appelé à la maison: le plafond de la piscine du centre où il séjournait s'était affaissé sous le poids de la neige. La semaine suivante, le toit d'une grande surface s'est écroulé dans la région de Nice, faisant des dizaines de blessés.»

Pierre

6. Ce feu qui se rallume tout seul:

«Mon oncle a toujours dit qu'il pouvait sentir la présence des esprits. Lui et ma mère possèdent deux maisons mitoyennes (des résidences secondaires) dans un petit village, situées juste devant un cimetière. Mon oncle dit que la maison de ma mère n'a aucun problème, mais que la sienne est remplie d'esprits mauvais (je peux confirmer qu'avant de connaître cette histoire, je me suis toujours sentie mal dès que je mettais les pieds dans la maison de mon oncle, jamais dans celle de ma mère).

Bref. Une fois, mon oncle a loué la maison à un groupe de gens. Le lendemain matin du début de la location, il les a retrouvés dans leur voiture, terrifiés devant chez lui: ils attendaient pour lui rendre les clés. La nuit précédente, après leur arrivée, le feu s'était rallumé tout seul, et les portes s'étaient mises à claquer. Ils avaient eu tellement peur qu'ils avaient repris la voiture et fait 1h30 de route en plein milieu de la nuit pour lui rendre les clés.»

Justine

7. Le mystère de la télécommande:

«J'emménage dans un nouvel appartement meublé. Après une journée de rangement, je décide de regarder la télé. Mais je ne trouve pas la télécommande. Je la cherche partout, dans tous les tiroirs, sous les coussins du canapé, derrière l'écran, sur le sol, partout.

Après une demie-heure de recherches infructueuses, je me dis qu'elle n'est pas là et que je préviendrai le propriétaire le lendemain. Je m'assois sur le canapé, pose mes pieds sur la table basse. Qu'est-ce que je vois sur la table basse, au milieu, seule sur le plateau de verre: la télécommande.

Je ne comprends pas comment c'est possible. Le salon n'est pas grand, il n'y a que quelques meubles, je n'ai pas pu rater la télécommande. C'est visuellement impossible. Et pourtant oui, elle est là, toute seule au milieu de la table basse. Il va sans dire que durant toute cette opération j'étais tout seul dans l'appartement et que personne n'en sorti ou entré.

Bref je suis resté toute la soirée en flip, regardant dans tous les coins, me retournant au moindre bruit étant persuadé d'être la victime d'un malade caché quelque part dans l'appart. Puis c'est passé et il ne s'est jamais rien reproduit de la sorte.»

Grégory

8. Ce lit possédé:

«Ça m'arrivait sur mon ancien lit (que j'ai quitté il y a un an). La nuit, généralement vers 1h du matin, je sentais quelque chose m'élever pendant 2-3 minutes. Je ne pouvais pas ouvrir les yeux ou hurler mais j'étais consciente. J'étais à quelques centimètres au dessus de mon matelas, et après quelques minutes, je redescendais lentement. Tout cela a duré 3 ans, au moins une fois par semaine.»

CoucouMémé

9. Cette séance de spiritisme qui a dégénéré:

«Une fois avec une amie, on a fait une séance de ouija chez elle, avec sa mère. On l'avait fabriqué nous même avec une feuille de papier et un verre. On est de grande fans du paranormal et on adore se faire un peu peur. C'était pas la première fois qu'on y jouait et à chaque fois, hormis le verre qui tourne en rond sur la planche, rien de bien méchant. Ayant une grande confiance l'une en l'autre, on savait que le mouvement du verre ne venait pas de l'une de nous. En soi, c'est déjà flippant mais c'était rien comparé à cette fois là.

Normalement, pour terminer la séance il faut briser le culot du verre, ce que nous faisions à chaque fois. Ce jour là, on a mal cassé le verre et le culot ne s'est pas cassé. On n'y a pas prêté plus attention que ça. Un peu plus tard dans la soirée, mon amie a commencé à se comporter bizarrement (fixer les murs, se taper la tête...) en disant des trucs louches comme "je dois le faire" et le regard intense qui va avec. Rassurant. Puis, au bout d'un moment, elle va dans la cuisine et attrape un long couteau et reviens nous voir en jouant avec (elle le lançait en l'air, le faisait tourner sur la table basse). On croyait qu'elle nous faisait une blague mais on n'était pas super rassurées avec sa mère. On essayait de lui faire comprendre mais elle continuait son comportement bizarre.

Mieux, quand on l’appelait par son prénom, elle nous disait: "ce n'est pas mon prénom, celle que vous cherchez est là mais ce n'est pas elle qui parle". À partir de là, j'ai vraiment flippé et je savais absolument pas quoi faire. Ça a continué pendant une heure et elle a fini par nous dire qu'elle était fatiguée et elle est partie se coucher. Une demie-heure plus tard, on l'entend appeler sa mère, un peu paniquée. Du coup, on part dans la chambre et elle était dans son lit, complètement perdue. Elle se souvenait de rien et ne comprenait pas comment elle avait atterri là. Elle était totalement paniquée. On n'a jamais su ce qu'il s'était passé et je ne pense pas vouloir le savoir. Autant vous dire que je n'ai plus jamais touché à un ouija.»

Charlotte

10. Cette pyjama party qui a mal tourné:

«Avec des copines (on avait 14 ans), on a décidé d'appeler des esprits cool, comme Marilyn Monroe, à l'aide de bougies et de prières inventées. Une fois au lit, mes copines se sont endormies mais impossible de fermer l'œil de mon côté: c'est comme si les voisins du haut avaient déplacé leurs meubles sur le parquet toute la nuit, à un mètre de mon visage car je dormais sur une mezzanine. Le tout accompagné de pleurs de bébé. Le lendemain, tout le monde m'a dit ne rien avoir entendu.»

Jade

11. Cette baignoire au sombre passé:

«Quand j'avais deux ans, ma mère et moi avons emménagé dans un appartement à Colmar. Ma grand-mère nous a rendu visite et pendant les trois jours où elle était là, elle a refusé d'utiliser la baignoire dans la salle de bain (notons au passage que ma grand-mère est quelqu'un de très propre et qu'il en faut beaucoup pour lui empêcher de prendre une douche). Cette baignoire avait selon elle quelque chose de dérangeant et de perturbant.

Quelques semaines plus tard, ma mère a appris par un ami policier que le précédent locataire de notre appart était mort dans la baignoire et que plusieurs jours s'étaient écoulés avant qu'on ne retrouve son corps (des voisins avaient alerté la police à cause de l'odeur). Ma mère a contacté le propriétaire qui lui a confirmé que oui, le précédent locataire était bien mort dans la baignoire, et que non, la baignoire n'avait pas été changée depuis. Elle a tout de suite donné son préavis et cherché un nouvel appartement.

Le dernier soir dans l'appartement, alors que je séjournais chez mes grands-parents, ma mère a entendu venant de la chambre "maman, maman, maman". Il s'agissait d'un de mes nounours qui s'écriait maman si on appuyait sur son ventre. Sauf que ma mère était seule dans l'appartement et n'avait pas appuyé sur son ventre...»

Marie

12. Cette ~présence~:

«J'avais 12 ou 13 ans. Je faisais mes devoirs dans le salon de mon père. Il faut savoir que j'étais orpheline de mère, que je ne vivais pas avec mon père et que cette pièce m'a toujours donné de drôles de sensations, un malaise, dans sa façon d'être une sorte de musée immuable de souvenirs.

Bref, je rédigeais je ne sais quoi, lorsque tout à coup, je sens une présence dans mon dos. Vous savez, on sent parfois une sorte de déplacement d'air ou d'ondes ou de vibrations quand une personne se déplace dans la pièce d'à côté. On ne la voit pas, mais on la sent se mouvoir.

Je me retourne, pensant mon père derrière moi. Et là, je la vois. Cette ombre blanche, fugitive, qui me frôle. Pas menaçante, mais présente. Je n'en ai jamais parlé à personne. C'était peut-être ma mère qui surveillait mes devoirs.»

Céline

13. Cet enfant qui aurait pu jouer dans Le Sixième Sens:

«Cet événement concerne mon petit cousin qui est aujourd'hui grand, mais qui n'avait que trois ou quatre ans à l'époque. Ses parents et lui vivaient dans une maison à la campagne, dans les Landes. C'est particulier les Landes, un territoire très vaste et peu densément peuplé. La maison n'était pas très vieille, 30 ans, dans ces eaux-là.

Mon petit cousin dormait alors très mal. Toutes les nuits. Ses parents n'en comprenaient pas la raison jusqu'à ce qu'un jour il leur dise: "Il y a la dame en rouge qui revient". À force d'être questionné, mon petit cousin parvint à expliquer qu'il voyait souvent une dame en rouge près de lui et qu'il avait peur.

Sans être croyant catho, voire en étant totalement athée, il y a ce truc que l'on a gardé dans les campagnes, c'est de s'adresser au curé du village en tout dernier recours. Il se trouve que ce curé-là, qui est un ami de la famille, a suivi une sorte de formation à l'exorcisme à Rome.

Il est venu dans la maison, a accompli ses rituels auxquels personne n'a assisté et mon petit cousin n'a plus jamais revu la dame en rouge.»

Céline

14. Cet esprit amateur de tennis:

«Une fois, j'ai vu un drap noir, sale, troué, du style détraqueurs dans Harry Potter, flottant horizontalement devant une grande baie vitrée alors que je jouais au tennis. J'ai d'abord cru halluciner, puis je me suis retournée pour demander à l'un des joueurs s'il avait vu la même chose que moi (nous n'étions que tous les deux faces à la vitre, jouant en double). Il m'a répondu qu'il avait vu exactement la même chose que moi. Nous sommes sortis dehors pour vérifier s'il y avait quelque chose, peut être accroché dans l'arbre qui se tenait près de la baie vitrée, mais il n'y avait absolument rien.»

Fanny

15. Cet esprit protecteur:

«À une époque on aimait bien faire des séances de spiritisme avec mes amis. On se mettait en cercle en se tenant les mains autour d'une sorte de plateau en bois et on appelait des esprits... et les esprits répondaient en tapant une fois pour oui et deux fois pour non. Ça a marché, vraiment j'ai encore du mal à y croire mais il n'y avait aucun moyen que quelqu'un ait triché pour nous faire peur.

On entre donc en communication avec un esprit, mais il mettait beaucoup de temps à répondre, donc la personne qui dirigeait la séance lui demande s'il veut parler à quelqu'un d'autre... l'esprit répond que oui. Il nous nomme chacun à notre tour et l'esprit dit non à chaque fois. Jusqu'à ce que ça soit mon tour, mon ami dit mon nom et là: un coup. J'ai senti mon âme quitter mon corps tellement j'ai eu peur, j'étais paralysée. J'ai fini par poser quelques questions pour savoir pourquoi il souhaitait me parler à moi. Il s'agissait en fait d'un de mes ancêtres, qui a dit être tout le temps à mes côtés pour me protéger, comme un ange gardien quoi. Aujourd'hui ça me rassure et ça me fait quand même flipper de me dire qu'il y a un vieux monsieur qui m'observe H24.»

Virginie

16. Ce rêve un peu trop réel:

«Il y a longtemps; je dormais chez ma grand-mère, dans un vieux lit avec des barreaux à la tête et au pied du lit. Dans mon sommeil, j'ai senti que quelque chose m'attrapait par les pieds, et quand je me suis réveillée, j'avais les deux pieds qui sortaient du lit, à travers les barreaux. C'est comme si j'avais glissé tout au fond du lit. Comme ça on se dit que c'est pas grand chose, mais j'ai eu la peur de ma vie.»

Martine

17. Et cette séance de spiritisme un peu mouvementée:

«Toujours à l'époque où on faisait du spiritisme avec mes amis car visiblement on avait pas mieux à faire. Tous assis en cercle, dans le noir, dans la vieille maison d'un de nos amis. On a placé un plateau au milieu, et on appelle un esprit. On est tombés sur un esprit très énervé, on aurait dit qu'il soulevait le plateau pour le frapper contre le sol. C'était tellement fort que je sentais du vent sur mes genoux et je sentais le plateau se rapprocher jusqu'à ce qu'il me frôle les genoux. On arrête la séance... et comme j'avais pas envie que mes amis me fassent une mauvaise blague, avant la séance j'avais regardé comment le plateau était aligné par rapport au plancher. Tout le monde a dit avoir senti le plateau se rapprocher d'eux, et en allumant la lumière le plateau n'avait pas bougé d'un millimètre.»

Virginie