Stade 1 : l'ignorance. Vous vous réveillez avec la gueule de bois mais ne vous souvenez pour l'instant absolument pas de votre nuit.
Stade 2 : la confusion. Des bribes de souvenirs commencent à vous revenir, mais ils restent brumeux et vous ne savez donc toujours pas à quel point ils pourraient être gênants.
Stade 3 : l'inquiétude. Vous commencez à réaliser que vous vous êtes peut-être comporté comme un vulgaire ivrogne la nuit dernière.
Stade 4 : la mission de reconnaissance. Stade durant lequel vous commencez à interroger vos amis.
Stade 5 : la confirmation. Vos amis confirment ce que vous redoutiez tant. La nuit dernière, vous vous êtes fait remarquer, et pas forcément en bien.
Stade 6 : le déni. Vous vous demandez pendant un instant si c'était horrible à ce point.
Stade 7 : les souvenirs. Tout vous revient alors...
Stade 8 : le flashback. La spirale de la honte commence.
Stade 9 : la panique. Vous regardez toutes vos photos, relisez vos sms et vérifiez vos réseaux sociaux pour voir l'étendue des dégâts.
Stade 10 : le flashback. ENCORE.
Stade 11 : les excuses envoyées à tout-va. Vous envoyez un sms à tous ceux qui vous ont vu vous ridiculiser.
Stade 12 : la divulgation involontaire. Dans votre frénésie d'excuses, vous demandez pardon pour des choses dont certains n'étaient même pas au courant.
Stade 13 : la justification. Vous essayez sans grande conviction de rationaliser votre attitude.
Stade 14 : ENCORE UN PUTAIN DE FLASHBACK.
Stade 15 : la recherche du réconfort. Pendant ce stade, vous racontez tout à un ami qui n'a pas assisté à votre nuit de débauche dans l'espoir qu'il vous réponde, « ce n'est pas si grave ».
Stade 16 : la remontée. Soit vous commencez à comprendre que ce n'est pas si grave, ou alors le temps vous permet de vous sentir à nouveau comme un être humain décent.
Stade 17 : le temps des promesses. Vous avez compris la leçon.