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    6 histoires vraies et horribles toutes liées à la mode et à la mort

    Vous saviez que porter une robe verte au XIXe siècle risquait de vous empoisonner ?

    1. Au XIXe siècle, la teinture verte contenait de l'arsenic. On en trouvait dans beaucoup de produits, mais surtout dans les robes vertes, qui sont devenus populaires au milieu du siècle.

    2. Au XVIIIe siècle, si ajouter des mouches sur son visage était à la mode, c'était surtout pour camoufler les cicatrices liées à la varicelle, à la syphilis ou la détérioration de la peau liée aux produits cosmétiques à base de plomb.

    3. Eva Perón, la première dame d'Argentine, était une femme extrêmement coquette. À sa mort en 1952, le processus d'embaumement a pris un an pour s'assurer que sa beauté resterait visible pour toujours. On a retouché ses racines pour que ses cheveux soient bien blonds et refait sa manucure.

    4. Difficile de trouver sur le marché des "Nike Decade". Une paire peut coûter plusieurs milliers de dollars, car les 39 personnes mortes dans le suicide collectif de la secte Heaven's Gate aux États-Unis portaient toutes ce modèle de chaussure leur jour de leur mort.

    5. Au XXe siècle, des jeunes filles travaillaient dans les usines de montres où elle peignaient les cadran et aiguilles pour qu'ils brillent dans le noir. Pour rendre les chiffres fluorescent, elles utilisaient du radium, un produit hautement toxique. Elles ont par la suite développé des cancers et tumeurs, et toutes sont mortes extrêmement jeunes. Vous pouvez en lire plus sur cette histoire fascinante ici.

    6. Après la fin de la Terreur révolutionnaire, la jeunesse dorée parisienne a commencé à arborer des tenues extravagantes et ridicules, ce qu'on a appelé «la réaction thermidorienne».

    Ce post a été traduit de l'anglais.